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📖STORY : le jour où un directeur de prison a libéré 142 détenus suite à la victoire du Mexique !

Bienvenue dans un nouvel épisode de Story. La rédaction raconte une anecdote footballistique, que ce soit un match, une statistique, un fait, le parcours atypique d'un joueur, une malédiction, un record ou encore un maillot et une carte panini vendus pour des millions..


La passion et l'euphorie font souvent faire des choses complétements improbables et insensées. Que dire de celle-ci..


Contextualisons la chose. Nous sommes à la Coupe du Monde 1970, au Mexique.

La verde (sélection mexicaine), affronte la Belgique en phase de groupes, et remporte vaillamment la rencontre 1-0. Victoire synonyme de qualification en quarts, la première dans l'histoire du pays.


Cet événement, qui restera gravé dans la mémoire des supporters mexicains, a entraîné des célébrations sur tout le territoire. A 300km de la capitale, le directeur de la prison Chilpancingo, considéré, à l'époque, comme l'un des centres les plus protégés du pays, entend bien également fêter cet événement. Enjoué, exaltant, et surtout alcoolisé, le directeur de la prison, Augusto Mariaga, sort son arme, et tire des coups de feu dans le vent, hurlant :

"Viva Mexico ! Viva Mexico"

Mais il ne s'arrête pas là.. En effet, l'homme est allé jusqu'à ouvrir la porte des cellules, libérant ainsi 142 détenus. Juste ça.

Quelques jours plus tard, il sera jugé par le tribunal local, qui a décidé de ne retenir aucune charge à son encontre, estimant qu'il a agit "par acte de patriotisme"


Le Mexique sera finalement éliminé par l'Italie en 1/4, Italie qui s'inclinera en final face au Brésil d'un certain Pelé.


Qu'est ce qu'on ne pourrait pas faire par amour du maillot ?


La rédaction



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1 comentário


msgoniaux
msgoniaux
17 de ago. de 2022

Génial ce format avec des anecdotes étonnantes, je suis fan, c'est rythmé et pittoresque, ça met en lumière ces évènements improbables qui mettent du piment et sont le sel des bonnes histoires à partager ! Excellente idée !

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