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Cameroun🇨🇲 1-0 🇧🇷Brésil ; les Lions indomptables sortent la tête haute !

Aujourd'hui s'affrontaient le Cameroun et le Brésil dans le cadre de la troisième et dernière journée des phases de groupe de la Coupe du Monde.

Retour sur une victoire camerounaise inutile mais magnifique.


Surprise à Doha. Le Cameroun s'est imposé face au Brésil, grâce à un but de Vincent

Aboubakar dans le temps additionnel. La Seleçao a tout de même validé sa première place, sans pour autant briller dans cette phase de groupe. Malheureusement pour l'équipe africaine, la troisième place est acquise, et l'élimination donc officialisée.



Compositions ->

Cameroun : GK : Epassy ; DEF : Nouhou, Ebosse, Wooh, Fai ; MIL : Zambo Anguissa, Ngameleu, Kunde, Mbeumo, Choupo-Moting ; ATT : Aboubakar

Brésil : GK : Ederson ; DEF : Telles, Bremer, Eder Militao, Dani Alves ; MIL : Martinelli, Fabinho, Fred, Rodrygo, Antony ; ATT : Gabriel Jesus


Etant donné que la qualification était déjà en poche, c'est avec une équipe B que le Brésil a entamé sa rencontre face au Cameroun. En face, pas de tournante d'effectif, puisque les camerounais devaient absolument gagner pour espérer se qualifier.

Sans surprise, c'est l'équipe sud-américaine qui a pris l'avantage dans le jeu, sans parvenir pourtant à se montrer dangereux. Dominé pendant toute la première période, le Cameroun passe tout proche de l'ouverture du score juste avant la pause, mais Ederson s'est mué en véritable mur.

En seconde mi-temps, les Lions indomptables ont tenté le tout pour le tout, attaquant

encore et encore. C'est dans les arrêts de jeu qu'ils ont trouvé la faille, ouvrant le score par l'intermédiaire de Vincent Aboubakar, pour ses dernières minutes en Coupe du Monde. Il a enlevé par ailleurs enlevé son maillot, reçu un second carton jaune, et a été exclu.




L'aventure s'arrête là pour le Cameroun, et le Brésil conserve sa première place.



On retrouvera donc en 1/8e de finale le Brésil, face à la Corée du Sud.

Rencontre abordable en perspective pour les quintuples champions du monde.

La rédaction

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